JE PASSE TOUT DOUCEMENT POUR NE PAS FAIRE DU BRUIT ET REVEILLER L ANGE DU TA POESIE .C EST DOUX ET LEGER MA CHERE DOMI .CONTINUE .MERCI
ET JE TE REPONDS PAR CETTE MERVEILLEUSE POESIE QUE J AI DENICHE A CE LIEN .ET M A PLU ENORMEMENT
:http://dixcretion.unblog.fr/2008/03/01/la-poesie-des-anges/
Je l'ai voulu par folie ;
je l'ai fait par sagesse. “
Ainsi naît ma poésie,
Pleine de torpeurs et pleines d'ivresses.
Poésie fais-moi peur,
Dans tes joies et tes détresses.
Je te ressens,
Que tes vers deviennent caresses,
Dans ton encens,
Dans tes sensations qui n'ont de cesse.
Je te regarde avec mes yeux enfants,
J'ai une envie de prendre tous ces temps,
Savoir à quoi ça sert,
Je n'en ai que faire.
Poésie de la nuit,
Je t'écris une envie, une vie.
Poésie nocturne,
Loin, aussi loin que mars ou saturne.
La poésie est un courant,
La prise, une emprise malsaine,
Qui vient, là, soudaine,
Quand on ne s'y attend.
Elle est surprise,
Elle est remous,
Dans tes cahots perdus,
J'irais voire tes arts, tes ” attises “.
Sans doute n'en croirais-je pas mes yeux,
Dans mes écrits pernicieux,
Ou dans ceux nés de la plume d'un ange,
Ange des cieux, capricieux, dieu des anges.
Épopée tragique d'un moment féérique,
Touchant des mondes fantastiques,
L'enfant perdu dans les marais,
Un vieille homme qu'il écoutait, qui lui narrait.
Des contes sans auteur,
Sans aucunement tronquer de ces notes sauvages,
Des côtes au mille paysages,
Des sables en apesanteur…
Mouvance de ce sort,
J'en redemande encore,
Sorti de ton esprit inconscient,
Un art se déploie lentement.
Tu as les yeux à l'envers,
Tu vois au delà de toi,
Ta conscience inconsciente, à travers,
Tes mots fardeaux, couteaux, des toréros putois.
Ta putréfaction d'âme sensible,
Libre, sur le papier postale,
Adresse paradis, chez les hautains voire les nuisibles,
Bataille à coup de plume, comme les épées féodales.
Tu te débats dans cette boue noirâtre,
Dans tes ébats, tes ” emplâtres “,
Sorti, tu sors au loin,
Vers ces chemins, ces destins.
N'as-tu jamais eu peur, dis-le !
Ne t'es-tu pas déjà dit que c'était immorale,
Impossible, par ces paroles, ces vers rocailleux ?
Ces temps inconjuguables. Sentimentales ?
Homme de l'Histoire, homme néandertale,
Un vers tirade des Hommes bavards,
Vers des destins fatales,
Vers significations, vers bâtards !
N'as-tu jamais ressenti ces sensations,
Ineffables déraisons, sens situation ?
Ne t'es-tu jamais dit que tu touchais,
L'impossible raison des sages des marais ?
Ta prairie peuplera des âmes sauvages,
Tes mirages réels des temps barbares,
Avec ou sans nuages,
Est-ce une avare, si belle, ou une si grande tare ?
Si tout ceci n'était finalement que la magie,
Dans le sens que l'on offre à toi ou à lui ?
Si tout ceci était un non sens meurtri,
Par ces années à vivre, dans un total oubli ?
Ta reconnaissance comment se fait-elle ?
Tu me le diras dans ta réponse,
Ame charitable, honorable, Ma belle,
La poésie, tu l'as vie, alors, fonce !